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Date: 19980303


Dossiers: T-815-97, T-816-97, T-817-97, T-818-97, T-819-97, T-820-97

T-821-97, T-822-97, T-823-97, T-824-97, T-825-97, T-826-97

Dans l'affaire d'une demande de contrôle judiciaire présentée en vertu de l'article 28 (1) i) de la Loi sur la Cour fédérale;

Et dans l'affaire d'une décision rendue relativement à un grief présenté en vertu de l'article 92 de la Loi sur les Relations de travail dans la Fonction publique, L.R.C. 1985, Chap. 35;

Entre :      HÉLÈNE BEAULIEU

     Requérante

     ET:

     SA MAJESTÉ LA REINE

     Intimée

     ET:

     GEORGE THOMSON

     -et-

     M. YVON TARTE, ARBITRE

     LA COMMISSION DES RELATIONS DE TRAVAIL DANS

     LA FONCTION PUBLIQUE

     Mis en cause

    

     MOTIFS DES ORDONNANCES

     (Rendus sur le banc à Montréal, Québec

     le lundi, 2 mars 1998)

LE JUGE HUGESSEN


[1]      Dans ces 12 dossiers, la requérante demande une prorogation du délai pour produire des "pièces au soutien de ses douze (12) demandes de contrôle judiciaire". Elle demande également la réunion de ces 12 dossiers.


[2]      Les demandes de contrôle judiciaire ont été intentées devant la Cour d'Appel le 11 février 1997. En date du 15 avril 1997, la Cour d'Appel a déféré ces dossiers à la Section de première instance. J'interprète la demande de prorogation du délai de la requérante comme demandant une prorogation tant du délai pour la production d'un affidavit supplémentaire de la requérante (règle 1603) que du délai pour la production de son dossier (règle 1606).


[3]      Or, les affidavits produits à l'appui de ces requêtes ne contiennent aucune explication du délai d'au delà de 10 mois pour compléter les procédures. La jurisprudence est constante à l'effet qu'une demande de prorogation du délai ne peut être accueillie que si une telle explication est fournie. Il n'en est rien. La prétention de la requérante à l'effet qu'elle a été en congé de maladie depuis le 18 février 1998, c'est-à-dire de cette année, même si je la tenais pour avérée, ne suffirait évidemment pas. Je rejetterai les demandes de prorogation du délai.


[4]      Dans les circonstances il n'est pas nécessaire de traiter de la demande de réunion des dossiers.

     James K. Jugessen

                                     Juge

MONTRÉAL, QUÉBEC

Le 3 mars 1998

     COUR FÉDÉRALE DE PREMIÈRE INSTANCE


Date: 19980303

Dossiers: T-815-97 à T-826-97 incl.

Entre :      HÉLÈNE BEAULIEU

     Requérante

         ET:

         SA MAJESTÉ LA REINE

     Intimée

         ET:

         GEORGE THOMSON

         -et-

         M. YVON TARTE, ARBITRE

         LA COMMISSION DES RELATIONS DE          TRAVAIL DANS LA FONCTION          PUBLIQUE

     Mis en cause

    

     MOTIFS DES ORDONNANCES

    

     COUR FÉDÉRALE DU CANADA

     NOMS DES AVOCATS ET DES PROCUREURS INSCRITS AU DOSSIER

NOS. DES DOSSIERS DE LA COUR:          T-815-9 à T-826-97 incl.

INTITULÉ DE LA CAUSE:      Dans l'affaire d'une demande de contrôle

                     judiciaire présentée en vertu de l'article 28 (1) i) de la Loi sur la Cour fédérale;
                     Et dans l'affaire d'une décision rendue relativement à un grief présenté en vertu de l'article 92 de la Loi sur les Relations de travail dans la Fonction publique, L.R.C. 1985, Chap. 35;

ENTRE:

     HÉLÈNE BEAULIEU

     Requérante

                     ET:

                     SA MAJESTÉ LA REINE

     Intimée

                     ET:

                     GEORGE THOMSON -et-

                     M. YVON TARTE, ARBITRE

                     LA COMMISSION DES RELATIONS DE TRAVAIL                      DANS LA FONCTION PUBLIQUE

     Mis en cause

    

LIEU DE L'AUDITION:                  Montréal (Québec)

DATE DE L'AUDITION:                  le 2 mars 1998

MOTIFS DE L'AUDITION PAR L'HONORABLE JUGE HUGUSSEN

DATE DES MOTIFS DE L'AUDITION:      le 3 mars 1998

                        

ONT COMPARU:         

         Me Hélène Beaulieu              pour elle-même

         Me Carole Bureau et          pour la partie intimée et

         Me Raymond Piché              les mis en cause

PROCUREURS INSCRITS AU DOSSIER:

         Me Hélène Beaulieu              pour elle-même

         Montréal, Québec

         George Thomson              pour la partie intimée et

         Sous-procureur général          les mis en cause

         du Canada


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